Les péripéties d'Irtos

Je suis l'un des rares elfes noires à être né a l'air libre. Mes parents, ainsi que tous les concytoyens de la colonies miniere, avaient subie l'influence des elfes blancs ( vous savez les végétariens bouffeurs d'herbes ... comme les veaux oui c'est sa) et étaient devenue GENTIL (enflure).
À 5 ans j'ai commençé à m'entrainer sur des rongeurs et des écureuil. Déjà très mature pour mon age, je détestais déjà mes parents et leur attitudes. Eux pensaient que j'avait une maladie. ''On ne peut décemment pas tirer du plaisir de la souffrance d'autrui.'' répetaient t'ils. À 7 ans je tua mon premier renards et la sensation fut sublime. Moi, un petit garçons, avais traquer et exterminer sa proie. Et celle ci ne s'était pas laisser faire. Elle s'est défendus et débatus mais j'avais gagné. MOI.
Pas peut fier, j'alla me vanter devant la communauté horrifié.
Peut après ils m'emmenèrent devant une magicienne elfe (une saloope de brouteuse de facholle). Qui déclara que je ne souffrais d'aucun maux (surement le seule truc sensé sortis de sa bouche durant ses siecle d'existence). La communauté décida alors que l'éducation était fautive et ils acusèrent mes parents (j'en étais pas si mécontent). Ceux ci m'envoyerent dans la ville souterraine faire mes études dès que je fus en age. La communauté vit la la preuve qu'ils était de mauvais parents et les comdamna a ne plus avoir d'enfant. Ils furent castrés devant moi, leur cries et leurs suplications caché par mon rire, la preuve irréfutable de leur culpabilité.
Dans la ville souterraine, je découvris une nouvele vie. M'étant très vite adapté a la phénombre permanente, je tendait embuscade sur embuscade. Principalement destiné à la gente féminine, qui tenait les rènes du pouvoir içi bas, afin de pouvoir profité de leur charme (si vous voyez ce que je veut dire) en plus du butin. Mais je ne tuait personne, de peur d'être renvoyé dans mon anciens village. Puis, alors que j'avais que 15 ans, je tua mon voisin de table en plein cours d'arrachage d'yeux humain. Il avait dit que j'était bourrin comme un orc et sournois comme un gobelin. Contrairement à la punition tant redouté, je fus félicités par mes camarades, mon professeur, mes tuteurs et même les parents de la victime. J'en ressentis ........................... un profonds ennuie. Je décida donc de remonté à la surface tant fuie et redouté. Mais quand on y réfléchit, si on déteste les elfes mieux vaut être près d'eux pour les buter plutot que les éviter, non? (j'adore cette réplique).
Je vécut alors de longue années d'errance, sans le sous et agée d'a peine 16 ans. Je vivais de menus larcins et de la bourse des autres. Je sillonais les territoire humain, elfes, orcs, gobelin et gnome. J'évita soigneusement les territoire démon et n'eut jamais aucun interets a me rendre chez les nains. Alors que je me rendais dans les forets gnoll du sud est d'Ystos, je croisa deux personnage assez extravagants. Une Succube qui avait peur de sa queue (!!!!!!!!!!!!!!) et un elfe noire qui la suivant (sans l'aborder pour son incroyable beauté ou s'enfuir pour sa dangeurosité). Je sais maintenant qu'il sagissait de Galdarith et de Sybilla. Je continua mon chemin jusqu'à une pettite ville de frontiere en évitant soigneusement le gouffre de Fonduratou, le siege des pretres de la douleur. J'ai déjà fait une decente chez eux mais ils adorent être torturé, sa ma tellement dégouté que je les fuis comme la peste.
Dans la ville je découvris LE paradis. Peut importe quelle race je voulais tuer aujourd'hui, il y en avait un dans la ville. Elle mélait échoppe, bas fond, job a profusion, marché noires, énorme stock de champignons, politiciens comrompus, garde paresseux.........mais assez combatif pour me donner du fil à retordre. Bref le paradis. J'appris très vite les ficelles du lieux et mon influence grimpait très vite. Aussi, l'un des politiciens (comrompus, bien sur) à qui j'avais tapé dans l'oeil décida de me mettre au fer afin d'éviter tout risque. Il savait qu'en prison j'aurai le choix entre la morts ou les gangs. Et peut importe mon choix je risquais pus de faire de la politique après. Je choisis de vivre. C'est ainsi que je finie ,à peine agée de 19 ans, en taule et dans un gang.
Pour faire officiellement partie du gang ils me tatouerent une chauve sourie sur le front (genre batman mais bleue). Peut après j'ai tué tous les membres féminin du groupe, puis le chef pour prendre le pouvoir, ensuite les officiers car ils s'opposaient à mon nouveaux statut de chef et enfin tous les autres en les envoyant en bataillon suicide pour admirer le spectacle. Après m'être évadé, j'alla porter la triste nouvelle au politiciens qui m'avait fait coffrer pour une raison bidon. Se fut la derniere mauvaise nouvelle de sa vie.
Plus tard a la taverne alors que je perdait mes derniere pieces d'or avec l'arnaqueur un grand orc baraqué et en armure entra. Il offrait du travail pour des explorateurs témérraire. Je me proposa et j'entama ma carriere de mercenaire. Et aujourd'hui me voici, 22 ans, mercenaire, assasins, voleur à ses heures perdues et grand séducteur.

Chapitre 1 enfance dificile
Mon premier souvenir est très tardif, Il date de quand j'avais 4 primtemps (Or la plupart des elfes noirs se souviennent de leur premier anniversaire). J'avais croisé un écureil et j'avais tenté de lui donné un coup de pied mais il l'avait évité.
se faisant il traversa le chemin et se fit écrasé par un cheval. Je souris à se spectacle et à l'idée que j'étais responsable de la mort du pettit être. Mais le cavalier lui descendit de son cheval et s'apitoya sur le sort de la pettite créature.
Je cracha de dégout. Et dire que c'était un elfe noir.

Vivre à la surface ne réussisait pas aux miens. La plupart s'était éloigné des valeurs qui avaient permis notre apogé pour se raprocher du point de vue des (connard d') elfes blancs. A 5 ans j'ai commencé a attrapé des mulots et des écureil. Je les enfermaient dans un bol remplie de charbon ardents jusqu'à leur mort (qui arrivait hélas assez rapidement). Mais au fil du temp j'améliorait ma technique insérait entre autre ingrédient eau boullante, couteau à éplucher, casse noix... A 6 ans et 9 mois je trouva le meurtre parfait. Ouvrir la poitrie de l'animal pour lui écraser le coeur encore battant entre les doights tout en regardant l'animal dans les yeux.

A 7ans et 6 mois j'ai pisté un renard dans la foret. Il était encore jeune et il s'était raproché du village en quete de noiriture. Je n'avais pour toute arme qu'un tison brulant mais sa me sufisait. Je me camouflais dans les fourrées avec les pas dont j'avis fait ma spésialité. Ces pas silencieux qui ne cassent pas les brindilles et ne laissent pas de traces. Arrivé sous le vent, j'agita les fourrées à coté de moi. Le renard, encore trop inexpérimenté, ne se méfia pas et approcha.
Il était encore plus impresionnant de près. Il aurait fais ma taille s'il avait tenue sur ces pattes arriere. Il était entierement roux a part le nez, le ventre et le bout de la queux. Sans réfléchir, je me jeta en avant. braquant le tison a l'aveuglette et empoignant son cou. Le tison dut touché un point sensible car le renard tenta de se rouler par terre avant de songer à se défendre. Sa peau sous ses poils changeait déjà de couleur...

il me griffa l'avant bras qui tenait le tson et je le lacha. Mais mon autre bras restait véroullés autour de son cou. Il avait beau se débatre, hurler, griffer le vide encore et encore, rien n'y faisait, je deumerait inflexible. Ses machoires mordait toujours mais elle ne se refermait que sur de l'air. Je m'agrippa encore un peu plus, affolait toujours plus le jeune renard qui n'avait jamais connu le danger. avec l'énergie du désespoir il redoubla d'agressivité ............... juste avant que tout s'arrete soudainement. Et définitivement. Je n'étais pas peu fier de moi et j'alla me vanter avec le cadavre du renard devant mes camarades de classe. Ceux ci ne voulait jamais me croire quand je disais que je tuais des animaux pour le plaisir. Mais ses raporteurs ont tout raconté à la maitresse et tous les adultes étaient horifié. Ils déciderent à l'unanimité de m'envoyer voir la guérisseuse elfe du village voisins, Stradominia.

Stradominia était une superbe elfe aux courbe digne des femmes de jeu vidéo de voiture (donc trèèèèèès développés). Une elfe du genre que j'aurai envie de croisé dans une ruelle sombre. Bref elle nous attendait quand nous sommes arrivé (un guetteur l'avait prévenu mais elle allait pas le dire, les tours commes sa impresionnait toujours les poulleux de mon village). Après avoir longuement écouté mes ''symptomes'' (ils ont été répété trois fois), elle décida de m'ausculter avec l'aide des spiritueux (sa c'est sur elle faisait de jolie phrase cette grognasse). En gros elle m'emena dans sa tente, elle psalmodia au dessus de moi pendant des heures (6h43) et on resortie pas beaucoup plus avancé. Elle déclara donc (surement un peu au pif) que je n'avais rien(de grave en tout cas).

La communauté ne fut pas soulagé pour autant. Elle se demandait d'ou pouvait bien venir cette rage meurtriere qui m'habitait. Mes parents eux était de plus en plus éffaré par mes actions. Ils touchèrent le fonds lorsqu'une (énieme) rumeur sur mon cas n'apparaisent. Si sa ne venait pas de moi, sa devait venir de mon éducation. Or l'éducation était primordiale pour la communauté car en modelant les enfants, elle modelait l'avenir. Mal éduquer un enfant revenait donc à faire courir notre peuple vers un affreux futur. Mes parents, exténués, décidèrent de m'envoyer à mes congénères souterrains. Mais ceux ci était méprisé par la communauté (un comble) et cela passa devant la communauté comme une ultime preuve de cupalbilité de mes parents. Et ceux ci fuurent envoyé au tribunal.

La situation s'envenimait entre mes parents et la communauté tandis que ceux ci passait de vant le juge. De bon parents ne rendraient pas leur enfant responsable de tous les maux. De plus un enfant, innocent et candide, ne peut pas faire cela. Se doit être des monstres pour mentir ainsi au sujet de leur enfant et avec une telle conviction. Avez vous entendus, ils l'accusent d'écorcher des écureil, comment notre village si cher à notre coeur a pus élever et héberger en son sein pareil abomination. Bref, la pression publique augmentai et le juge dut décider la sanction la plus dur qui soit. L'interdiction formelle et définitive d'avoir un enfant. Et ceux par des actes immédiats et de sévérité proportioinelle à la faute. Traduction : la castration. Et je fus obligé de regarder se spectacle car la communauté souhaitait que je sache que ce que j'avais subi ne se reproduirait plus et que mon esprits martirisé par des psychopates sachent que l'heure de la délivrance avait sonné. Mais contrairement aux larmes (de joie ou autre) tant attendus, j'éclatais de rire. Je riais de ce village stupide qui punisais ses plus ardents défenseurs. Je riais de ses parents stupides qui avait tenté de me ''convertir'' a leur mode de vie ''sain'', augmentant ainsi ma rage et mon désir de torturer. Je riais de ce monde que j'étais maintenant libre de torturer. Je riais de ses gens qui, meme si ils la méprisaient, appliqueraient la volonté de mes parents à mon égard. Et je riais de cette scène devant moi si délicieusement douloureuse.

Bien entendus ce rire qui couvrait les suplications de mes parents n'arengat pas leur situations. les chirurgiens leur firent encore plus mal, espérant les punir suffisament pour ce crime non commis. Quoi que c'était peut être bien leur faute. si ils m'avaient maltraiter peut être serais je devenus un ''bon garçon'' selon leur critere de baltringue.
Ainsi je quitta mon village et tout ce que j'avis toujours détesté, avec ma cruauté bien emballé dans mon baluchon.

Chapitre 2 puberté indécente
C'est ainsi que j'arrivais à la ville souterraine. 13 ans tout rond (mes parents m'y avaient envoyé le plus tot possible si bien que j'ai atteins l'age minimal en route) et ma puberté commencai à me tarauder. L'organisation de la cité me surprit, les femmes commandait et les armées était composé de mercenaire de d'autre race. Mais ou étaient les hommes? Quel tache ingrate leur avait imposée les femmes? Et pourquoi? Arrivé à l'école, deuxieme surprise. C'était la plus belle, grande et majeustueuse de la ville (et pourtant sa manquait pas les écoles belle, grande et majeustueuse) je savais que mes parents étaient riches mais au point de m'offrir une telle école. Ils avaient vraiment de l'argent à jeter par la fenetre.
J'entra dans ma nouvelle classe. Et la encore surprise. Il n'y avait que des filles dans la classe mis à parts un petit être exclu au fond de la salle. Je m'assis près de lui et récolta pour toute récompense un poin dans le ventre. Ma treizieme année commencait bien.

Ma carriere de brigand commença dans ses rues sombres et étroites. L'absence de soleil était un avantage et un inconvénient. Un avantage car elle m'aidait dans la traque de mes proie et un inconvénient car elle m'empèchait de jouir pleinement de la soufrance de mes victimes. Je chassait principalement des femmes pour les punir de leur comportement avec les hommes. Elles nous devaient le respect. Ma puberté avancant à grand pas je commença à être intérréssé par les jeunes filles de ma classe ......... et par mes victimes. Je lorgnais leur courbe que j'avais entierement à ma portée... et parfois j'en profitais .... C'est à la fin de ma quatorzieme année de vie que je viola pour la premiere fois. Ce fut une sensation exquise et je recommansa à chaque fois jusqu'a ce que le viol devienne une des pratique élémentaires de mes tortures. Celle ci s'améliorait à chaque ..... recontre. Mais je ne tuais jamais de peur que pour se crime on me renvoie dans mon village paumé et sans nom. Même Forks me semblait attirant en comparaison.

Alors que je grandissais la soif de pouvoir se dévellopait en moi. Mais je savais que je ne pourais jamais grandir dans la société içi. Ou je n'étais et ou je resterais qu'un petit étudiant, voleur à ses heures pour arrondirent mes fins de moi. Mais la surface était devenu pour moi synonimes de gentilesse et .. et d'elfes. Je restais donc au fond de mon trou, comme un lache, renonçant à pourir le monde de ma présence et de mes crimes. Je finis par en avoir marre. Mes anciennes victimes ('tits écureils) me manquaient, mes anciennes cachettes ('tites caacomes) me manquaient, même le soleil (si utile pour cramer ses victimes quand on est équipés) me manquait, ___________ les elfes me manquaient aussi(j'veux buter du NELFEEEEEEEEES EEEUUU EU (pleure)).
Mais je ne remontais toujours pas dans la lumiere. C'était donc cela que mes concitoyens avant faient de moi en voulant me guérir. Un traumatisé de la surface. C'était peut être fait exprès pour que je ne revienne pas les faire chi°r.

A quinze ans j'en avais officiellement marre. Mes résultats à l'école était en chute libre et le pourcentage de vol avait augmenté de 21% et celui de viol de 18%.
Même le maire de la ville connaissait mon nom. Un jour en cours (pour une fois que je ne séchais pas) qui parlait d'arrachage d'yeux humains (pour une fois que j'avais une rais d'être attentif)(pour une fois que j'étais attentif) mon voisin me parla. je ne lui parlait pas souvent, j'étais plus attirés par les filles de la classe hélas je les avais déjà toute torturer et violer. Parfois je le refaisais ma c'est moin drole lorsqu'elles savent ce qui va leur artriver. Donc mon voisin m'aparler et il semblait avoir gros sur le coeur ''un sado comme toi peut pas comprendre.....c'est une question d'honneur.........j'veux pas m'assoier à coté de quelqu'un bourrin comme un orc ey sournois comme un gobelin''. Se furent ses dernier mots. En un rien de temps il se retrouva au sol et ses yeux dans ma mains. Utilisant le scalpel du cours je lui ouvra le ventre et lui sortie son coeur de la poitrine mais sans l'arracher ou l'endommager. Je me raprocha alors le plus possible de sa figure. Je pouvais sentire son haleine et il pouvaitr sentir la mienne.
Je lui dit alors ''le sourmnoie comme un gobelin, y tient ton coeur entre ses mains. Y tient ta vie ente ses mains.'' et sur ses je lui arracha le coeur des veines qui le reliait au futur cadavre. lentement je releva la tête vers l'assemblé qui me regardait. Plus admiratif qu'horrifié.

Je m'attendai à une engueulade mémorable ou à quelque chose comme sa. Me faire renvoyer dans mon ancien village, chez des elfes, etre interdit de sortie.... ou une autre punition. Au lieux de cela, les élèves (qui ne m'avait jamais apprécié) me portèrent en triomphe. La plupart d'entre elle avait le visage ravagé par les torture que je leur avait infligé. J'était étonné, éffaré. Qu'est ce que c'était que ces énergumènes? Elles (j'avais tué le seul gars de la classe avec moi) me déposèrent devant le professeur, surement avec l'intention d'assister au spectacle de sa colère (voir même a un éxercice de travaux pratique, c'est un cour d'arrachage d'yeux aprè tout). Mais il me félicita à ma plus grande surprise. Je me retourna, m'apprétant à observer le visage décue de mes camarade mais elles ....... souriait. Alors que le jeune homme que je venais de trucider avait été pour la plupart (et malgré leur jeune age) leur amant. Et malgré cela elles me félicitait pour mon ''exploit''. Je savais que j'aurai dut être heureux mais j'en fus ....... écoeuré.

Ma classe vanta mes mérite dans toute l'école. Le récit du meurtre se répandit comme une trainée de poudre. Arraché un coeur se n'est pas rien. Tous les élèves voulaient me voir, tous m'ouvraient leur jambe. Dégouté j'en tua la plupart (mais pas sans avoir profiter au maximum de la situaion ........ elles ne restaient pas consentante bien longtemps). On me poussa à aller à l'enterrement et je finis par accepter (pas sans avoir tué le prof qui m'avait convaincus d'y aller). Même les gens en pleur me congratulèrent. Quand je croisa les parents de ma victime, je vis leur isage rayonné à la vue d'un telle meurtrier. Ils étaient honorés de me voir (je les tua un ans plus tard lors d'n bref retour dans la ville souterraine). Et quand l'affaire arriva aux oreille du directeur de l'établissement, il y eu un discour avec le maire de la ville et tout (il n'y apas de mauvaise publicité pour une telle école. Le discour disait en gros ''notre école est tellement bonne que même aux hommes on arrive à en faire quelque chose d'acceptable''.

J'étais frustré et en colère. je m'étais retenue de tuer tout se temps, je m'étais sovent emporté sur des meubles pour évitez d'arrachez la tête de quelqu'un... et tout sa pour rien. j'étais dégouter. Depuis l'accident je m'étais lécole à feu et à sang, et j'étais à chaque fois plus récompenser et aclamer. Après m'être acharné sur une classe de fillette de 8 ans, je les laissa agonisante pour réfléchir à une soudaine illumination. Après avoir violer la prof qui quelque instant plus tot n'arretait pas d'aplaudir, je pensa. pourquoi ne pas retourner la ou on me puni, je les dfétesterai en sachant que je dois les détesté, pas comme içi. on est triste si personne ne nous oprime car on a personne countre qui diriger la haine. C'est pour sa qu'on aime pas sarkonazy.donc je dois remonter à la surface ou je pourrai buter de l'elfe (ouai de l'elfe).